Newsletter : 
»
THURSDAY 29.05.2025
AEM PROJECT PRESENTS : A LAST DANCE WITH JPP
Les Sheriffs (FR) + Les Vulgaires Machins (CA) + Corbillard + The Traders (FR) + Asile

 

»
DETAILS

 + PRESALE : 25€ 
 + OPENING HOUR : 18:00 

 + Les Vulgaires Machins
    » Web
 + Corbillard
    » Facebook
    » Web
    » Bandcamp
    » Instagram
 + Asile
    » Facebook
»
LES SHERIFFS (FR)
»
LES VULGAIRES MACHINS (CA)
Il n'y a point de pires sourds que ceux qui ne veulent pas entendre.
Molière

Après un détour par le DVD/CD Presque sold out, enregistré devant public, Vulgaires Machins donne une suite à l’acclamé Compter les corps (3 nominations au Gala ADISQ et près de 25.000 copies vendues). De nouveau réalisé par Gus Van Go, Requiem pour les sourds donne vie à toutes les attentes générées par le succès du disque précédent. Les 13 chansons de ce nouvel album subliment une formule déjà éprouvée : rythmique implacable, guitares aiguisées au rock et mélodies contagieuses servent de haut-parleur à des chants fédérateurs. Guillaume Beauregard (chant, guitare), Marie-Eve Roy (chant, guitare, piano), Maxime Beauregard (basse) et Patrick Landry (batterie) continuent de passer au crible les maux et les souffrances de nos sociétés néo-libéralisées à outrance. Un réquisitoire en règle contre le règne de la pensée unique, le renoncement collectif et le consumérisme pathologique (Presque complet, Prêts à tomber, L’Escorte, Mourir pour le Système) insidieusement servis par l’illusion démocratique (Mythe de la démocratie, Pointer l’orage). Le groupe étend sa critique jusqu’à la malbouffe (Texture qui se mange) et à l’industrie culturelle (Parasites, Une chanson acoustique) mais se révéle aussi plus introspectif à l’évocation des relations humaines (Longer les murs, Je m’excuse... je t’aime, Un peu plus fort, Glace noire). Ironique par vocation, sensible par nature et engagé par conviction, Requiem pour les sourds élève Vulgaires Machins au sommet de son art.

Au creux des années 90, une musique estampillée 77 ressurgit grâce à l’impétuosité de Green Day, NOFX et autre Rancid. Ce séisme californien secoue le Québec où une formation de Granby se démarque dès 1995. Vulgaires Machins retient l’attention par ses prestations sur scène. La bonne réaction du public encourage le groupe à enregistrer ses premières compositions. La technicité sommaire du studio-maison Beauregard explique la qualité approximative du démo La Vie est belle. L’oreille avertie des membres de Grimskunk ne s’en formalise pas. Ces pionniers de l’alternatif offrent au quatuor de rejoindre leur nouveau label Indica. Vulgaires Machins dispose enfin d’un soutien à la hauteur de ses ambitions artistiques lorsqu’il investit le Studio RCA Victor en 1998. Sa rencontre avec le réalisateur Pierre Rémillard donne naissance à un prometteur 24-40 (mai 1998). Dans une apparente naïveté, ce disque crache des diatribes entre tranches de vie et désinvolture pistolienne. Le groupe bénéficie par ailleurs de la popularité de Grimskunk pour multiplier les premières parties au Québec. Il gagne progressivement son autonomie, notamment grâce à la diffusion de son vidéoclip Anti-dépresseur.

Peu sensible à l’euphorie du nouveau millénaire, Vulgaires Machins invite au recul sur Regarde le monde (mai 2000). La complicité avec Pierre Rémillard se précise sur ce deuxième opus qui, sous des apparences «j’m’en foutiste», surprend de lucidité. Ce regard alerte incite à briser les frontières. À l’automne 2000, la troupe s’enrôle dans une tournée européenne (France, Suisse, Espagne) entre concerts squatés et Transmusicales de Rennes. Au Québec, les foules grossissent et prennent déjà des airs de consécration en 2001 : Spectrum puis FrancoFolies de Montréal, Festival d’été de Québec… La diffusion vidéographique s’accentue aussi avec les extraits Le Ciel est vide et Petit Patapon. Sans déroger à sa simplicité volontaire, Vulgaires Machins reste fidèle à des idéaux manifestés en marge du Sommet des Amériques. Dans une atmosphère d’émeute, il partage la scène de la contestation sonore avec Propagandhi. Les gaz lacrymogènes se dissipent au contraire d’opinions qui s’articulent avec maturité sur Aimer le mal (septembre 2001).

Flanqué de Pierre Rémillard aux manettes et de Dale Penner aux conseils artistiques, Vulgaires Machins arme sa discographie avec Aimer le mal. Les compositions s’enrichissent pendant que la plume s’affirme, devient militante et se débarasse des stigmates adolescentes. L’identification d’une génération, étampée X ou Y faute de mieux, est immédiate. Les salles de spectacles sont pleines, la tournée québécoise s’allonge de supplémentaires et fait plusieurs détours par la France. Le groupe promène son rock incisif jusqu’aux masses des grands événements : Woodstock en Beauce, Festival d’été de Québec, FrancoFolies de Montréal, Fiesta Bérurière de Québec. L’image relaie le message grâce à une série de vidéoclips (Dieu se pique, Comme une brique, La Chasse est ouverte, Anesthésie) où se conjuguent esthétisme et conscience sociale. Suite à cette folle épopée, Vulgaires Machins s’accorde un temps d’arrêt relatif puisque le décompte est déjà amorcé pour Compter les corps (août 2006).

Réalisé entre Montréal et New-York par Gus Van Go, Compter les corps combine avec succès intensité et quête mélodique. Du même souffle, Vulgaires Machins mûrit son discours au profit d’une dynamique citoyenne. Dès sa présentation sur scène, l’album obtient un vote de faveur avec le Prix Miroir Coup de coeur de l’édition 2006 du Festival d’été de Québec. L’accueil dithyrambique de la critique fait écho à l’enthousiasme du public. Ce concert d’éloges ouvre des portes à Vulgaires Machins. Les chansons Puits sans fond, Compter les corps, Dommage collatéral, Être un comme percent les ondes radiophoniques et bousculent la hiérarchie des palmarès. 2007 est l’année de toutes les nominations : Prix Juno («Album francophone de l’année»), Much Music Video Awards («Best French Video»), Gala GAMIQ («Meilleur album punk», «Artiste de l’année»), Gala ADISQ («Album de l’année – alternatif», «Révélation de l’année», «Auteur ou compositeur de l’année»). Ces marques de reconnaissance officielle n’assagissent pas pour autant le groupe. Son vidéoclip Anéantir le dogme, signé par François Avard, subit une censure télévisuelle court-circuitée par sa large diffusion sur Internet. Avant d’enregistrer son Requiem pour les sourds, Vulgaires Machins offre à ses fans un magnifique témoignage de son aventure scénique sur le DVD/CD Presque sold out (novembre 2008).
»
CORBILLARD (BE) (Punk / Rock)
Depuis 2010, Corbillard trace sa route hors des sentiers battus, tant dans les milieux
alternatifs (qu ́il soutient de toute son âme et de toutes ses forces) que sur les plus grosses scènes de Belgique et d ́ailleurs.Évoluant depuis ses débuts dans un registre punk-rock incisif, mélodique, fédérateur et
chanté en français, ses concerts sont une ode à la mort... dans la joie et la bonne humeur ! Lors de ses tournées, le groupe a eu l'occasion de fouler le sol de 3 conÆŸnents. Mais c'est principalement l'Europe qu'il a eu l'occasion de sillonner d'Ouest en Est.Corbillard se nourrit des aventures humaines et, avec plus de 500 concerts à travers 16 pays, et il a pu partager la scène avec bon nombre de ses grands frères (Anti-Flag, Offspring, Propagandhi, Voodoo Glow Skulls, Burning Heads, A Wilhelm Scream, Get Dead, The Damned...)
»
THE TRADERS (FR)
»
ASILE (BE) (Punk / Rock)
Asile débarque !

Un Pop/Punk aux couleurs de la fête et de la musique !

Le groupe est formé de 3 membres de la région de Soignies :
Thomas L. : guitariste/chanteur
Laurent H. : batteur
Caroline D. : bassiste

Le projet a pris en forme en octobre 2010 avec au commencement Thomas à la guitare, Clarisse à la basse et Fabian à la batterie. Il arpente les différents bars et festivals de Belgique depuis! Le groupe mélange des reprises revisitées et des compositions en rock, punk, ska et reggae. Tout cela bien sur avec des chansons en français passant des messages ayant pour but de faire réfléchir les gens tout en s'amusant. Pas de prises de tête, le but est surtout de faire la fête et de faire bouger le public !
*/